Le secteur du transport de voyage subit une forte pénurie depuis la crise du coronavirus

Depuis plusieurs mois, la gare de Namur et ses alentours sont en pleine transformation. Ces travaux ont entraîné une réorganisation des espaces, notamment pour les automobilistes souhaitant déposer rapidement un passager. Entre arrêts de bus et zones de dépose-minute, difficile parfois de s'y retrouver.

162 métiers sont en pénurie en 2024. C'est ce que constate le Forem avec la liste des fonctions critiques et des métiers en pénurie. Les secteurs les plus touchés sont la construction, l'industrie et le transport. Cette liste permet au Forem d'adapter son offre de formations. Le centre de formation de Mornimont propose des formations pour les chauffeurs de bus. Manon Hypacie et Gilles-Antoine Moniotte se sont rendu sur place.

Dix ans après son lancement, le Flexitec existe toujours à Viroinval. De plus en plus de citoyens font appel à ce service de mobilité à la demande en milieu rural. En 2015, le Flexitec a effectué 300 trajets. En 2023, le service a été sollicité pour 500 trajets.

Ce mois de mai, l'Agence wallonne pour la Sécurité routière mène une campagne incitant tous les usagers de la route à se déplacer moins vite. La vitesse est un facteur qui reste important en matière de sécurité routière. On estime que, chaque année en Wallonie, 70 personnes perdent la vie dans des accidents liés à la vitesse et près de 2.000 autres sont blessées. Parallèlement à une augmentation du nombre de radars, cette campagne de communication a été créée pour encourager la baisse du taux de mortalité sur les routes.

Attention, si vous devez prendre le bus dans les prochains jours aux abords de la gare de Namur et dans le centre-ville. Suite à l'évolution du chantier de la place de la gare, le TEC réorganise les arrêts et certains circuits de bus à partir de ce jeudi. D'autres changements interviennent également suite à l'extension du piétonnier dans le centre-ville. Nous avons rencontré un représentant du TEC pour les détails pratiques.

Á Surice, Thierry et sa fille Danielle ont été confrontés à une situation délicate pendant quatre semaines, mettant en lumière un enjeu crucial de mobilité. La jeune Danielle n'a pas pu se rendre à l'école pendant cette période en raison de l'absence de chauffeur assurant le ramassage scolaire. Cette situation, bien que temporairement résolue par l'embauche d'un remplaçant, soulève des questions sur la viabilité à long terme du système de transport scolaire.

Qui dit retour du printemps, dit retour des voyages en extérieur. Cette année, le festival du Relais des Voyageurs revient pour une cinquième édition haute en couleur à la Citadelle de Namur. Stands, conférences et activités pour repenser sa façon de voyager sont organisés tout au long du week-end de Pâques, sur le site de Terra Nova. S'évader sans laisser une grosse empreinte carbone, c'est possible et accessible pour tout type de public. De quoi découvrir de nouveaux horizons en s'amusant de manière responsable.

Vous la connaissez sans doute, la société Cambio est établie à Namur depuis de longues années. Leader du carsharing en Wallonie, Cambio ne cesse de se développer. Le bilan 2023 est positif. Une nouvelle station sera d'ailleurs inaugurée rue Louis Loiseau à Salzinnes ce mois de mars.

Le chemin de fer dans l’Entre Sambre et Meuse fête ses 175 ans. Une exposition lui est consacrée à Walcourt. Vous pouvez y voir des plans, d’anciennes cartes postales, des képis... L'inauguration a lieu ce jeudi 18 janvier à 19h.

Le sujet fait l'objet de toutes les conversations à Erpent. Depuis la rentrée des vacances d'automne, les files ne cessent de s'allonger sur la Nationale 4 et aux abords du collège Notre-Dame de la Paix. En cause: deux changements intervenus au niveau des routes, l'une régionale et les autres communales. Les automobilistes et les riverains en ont marre, et ne comprennent pas. Ils parlent même d'aberration. Nous sommes allés à leur rencontre...

Des travaux, encore et toujours, chaussée de Louvain, à Bouge. Et on parle à nouveau de la bande des bus. Pour rappel, les commerçants et les riverains ont subi des travaux durant un an pour aménager une bande de bus surélevée au milieu de la chaussée. Mais le résultat n'est pas satisfaisant. De nombreux automobilistes se plaignent de la hauteur de cette bande de bus, notamment lorsqu'il faut franchir deux carrefours de la chaussée. Il a été décidé de raboter la bande de bus au niveau de ces carrefours. Les travaux débutent ce lundi, et ils vont coûter plus de 112.000 euros.

Plusieurs clients du TEC de la ligne 23 entre Namur et Jemeppe-sur-Sambre, sont furieux. Depuis le 1er août, une série d'arrêts dans la traversée de Spy et aux abords sont supprimés. Ils sont, du coup, obligés d'aller chercher le bus à plusieurs centaines de mètres, voire plusieurs kilomètres, pour certains. Ou ils doivent carrément prendre un bus Express ou le train pour pouvoir rallier Namur ou Jemeppe, avec d'importants coûts supplémentaires. Une pétition réunit déjà plus de 1000 signatures. Des habitants ont interpellé le TEC et les pouvoirs politiques.

Après quasiment 8 ans d'attente (dont 5 ans de retard), la nouvelle gare des bus de Namur est enfin là ! Mais cela valait le coup d'attendre. Résolument moderne, très lumineuse, sécurisante, elle occupe le toit de la gare SNCB. C'est la force de ce projet: en moins d'une minute, vous pouvez passer du train au bus, et vice versa. Á l'occasion de son ouverture officielle, nous avons réalisé une émission spéciale sur la nouvelle gare des bus. En voici un résumé, et les meilleurs extraits. Bonne visite !

Ca y est ! Après 8 ans de travaux, soit 5 années de plus que prévu, Namur dispose de sa nouvelle gare des bus. Elle est installée sur le toit de la gare des trains. C'est une première en Wallonie, voire en Europe. Cela va permettre aux usagers de passer facilement du bus au train, et vice versa. On vous fait découvrir cette nouvelle infrastructure:

La création d'une ligne de bus reliant Couvin à Dinant est à l'étude et serait bien utile à la commune de Doische. Cette ligne lui permettrait d'être enfin reliée à un réseau structurant. A l'heure actuelle, seules des lignes scolaires ou secondaires sont en place sur l'entité, ce qui ne permet pas une mobilité optimale. Une ligne principale vers Philippeville serait également à l'étude, elle circulerait la journée et pendant les congés.