Florennes : une rentrée scolaire en musique

Il avait à peine 13 ans quand il a commencé à écrire ses premiers textes. Alors maintenant que sa carrière de rappeur débute, c'est dans les écoles secondaires que Tussy défend son projet. "Le même en mieux Tour", c'est le nom de sa tournée de 33 dates, qui a notamment fait arrêt à l'Athénée Jean Rey de Couvin, devant un parterre de jeunes qui l'ont découvert sur les réseaux sociaux. Si son nom vous est inconnu, certains d'entre eux connaissaient déjà ses paroles par coeur.

Soldats, médecins, civils... le temps d'une matinée, l'IATA, à Namur, a pris des allures de zone de guerre. Un jeu de rôle grandeur nature a été organisé par la Croix-Rouge de Belgique. Le but ? Sensibiliser les élèves aux règles qui régissent les conflits, à savoir le Droit international humanitaire. Mais aussi ouvrir les discussions et apaiser les craintes que certains peuvent avoir en étant confrontés aux images parfois violentes diffusées dans les médias et sur les réseaux sociaux.

Depuis mercredi, nous suivons le voyage des élèves de l'athénée Meuse-Condroz d'Andenne à Zerkten au Maroc. Il est temps maintenant de rentrer en Belgique après un séjour qui les aura toutes et tous profondément marqué.e.s.

Prenons maintenant des nouvelles des élèves andennais qui vivent actuellement une semaine d'échange tant au niveau culturel qu'humanitaire au Maroc. ils découvrent notamment la richesse des traditions berbères. Nos envoyés spéciaux, Elise Graff et Gaëtan Delhez, passent la semaine avec eux. On les rejoint en plein cœur du village de Zerkten.

Direction le Maroc, dans la région montagneuse du Haut Atlas, dans le petit village, ou douar, de Zerkten. Sur place, l'une de nos équipes suit le voyage humanitaire et culturel de 12 élèves de rhéto de l'Athénée Meuse-Condroz d'Andenne. Leur mission ? Planter 500 arbres pour venir en aide à la population locale. On y retrouve Elise Graff et Gaëtan Delhez qui sont sur place depuis hier soir !

Les fêtes de Wallonie ont officiellement débuté et, ce vendredi, c’était au tour des enfants de se réjouir. Vingt-quatre écoles de toute la région namuroise se sont réunies pour participer aux Walloniades juniors, une version adaptée des célèbres épreuves sportives. Les compétitions ont animé la matinée jusqu'en début d'après-midi, suivies d'une boum sous un chapiteau. À la clé de ces réjouissances, des récompenses telles qu’une visite du domaine provincial de Chevetogne et des places pour le téléphérique de la citadelle.

Ils sont 12 rhétoriciens de l'Athénée Meuse-Condroz d'Andenne à vivre une semaine à Zerkten, au Maroc. Sur place, ils plantent des arbres avec l'ASBL Asafran, Solidarité Afrique Andenne. À côté de ce volet humanitaire, c'est aussi, et avant tout, un voyage de rencontres avec la population locale. Ils ont été rejoints aujourd'hui par six joueuses de l'équipe de football de Zerkten. Elise Graff et Gaëtan Delhez les suivent durant tout le voyage.

La nouvelle école secondaire de Namur Éole a fait sa rentrée. Avec une approche pédagogique différente et alternative, elle ravit les élèves et les professeurs.

La 12e édition de l'Intime festival a eu lieu ce week-end à Namur. L'événement littéraire a invité une trentaine d'écrivains, comédiens et metteurs en scène à rencontrer un public bien présent. À travers des grandes lectures, des pièces de théâtre et des entretiens, l'Intime festival a fait honneur à sa réputation.

Retour sur les Solidarités, le dernier grand festival de l'été qui s'est tenu à Namur ce week-end. Les organisateurs font de leur mieux pour programmer les artistes, aménager le site et accueillir plus de 60.000 festivaliers dans les meilleures conditions. Mais il faut bien avouer que pour nous, les médias, il est difficile de pouvoir rendre compte de l'événement sur le plan musical. L'entourage de certains artistes nous impose de plus en plus de contraintes. Cela nous interpelle, on peut clairement parler de freins dans nos missions d'information. C'est dans ce contexte compliqué que l'une de nos équipes a couvert l'événement.

Jour de rentrée ce 26 août pour les élèves de l'enseignement francophone. A l'école fondamentale du Moulin à Vent à Bouge, la rentrée ne s'est pas faite en fanfare mais presque... Les enfants ont en effet été accueillis au son d'un accordéon.

C'était le retour des écoliers sur les bancs des classes ce lundi 26 août. Malheureusement, pas partout. A Romedenne, dans la commune de Philippeville, la sonnerie n'a pas retenti ce matin pour sonner le début de la rentrée. En juin dernier la commune a annoncé la fermeture de l'implantation par manque d'élèves. Après plusieurs années de dérogation, il a fallu se résigner. Une nouvelle désolante pour le village, qui perd un de ses moteurs. Mais une fermeture qui fait aussi le triste bonheur de deux autres implantations voisines : à Surice, toujours sur la commune de Philippeville, et à Vodelée dans l'entité de Doische. Chacune des écoles a récupéré les élèves de Romedenne.

Le Festival mondial de folklore de Jambes s'est clôturé ce lundi avec des spectacles dans les maisons de repos namuroises, et le Gala de clôture dans la salle des sports de l'Athénée royal de Jambes. C'est la conclusion de quatre jours de fête, de musique et de danse. Le public a pu apprécier cette année les prestations des groupes folkloriques venus de Bosnie-Herzégovine, de Grèce, du Japon, du Pérou, de Taïwan, et bien entendu de Belgique. Nous avons assisté au "Bal du monde", un rendez-vous apprécié par les participants.

Depuis tout petit, Tino Dakota, le véritable cow-boy de Lesve, est passionné par la culture du Western. Tous les matins, il se lève pour s'occuper de ses chevaux qui vivent paisiblement dans son ranch, monté de toutes pièces par ses soins. Amoureux de la nature et de la vie dans les champs, Tino a envie de transmettre sa passion pour son mode de vie. Un matin en se réveillant, une idée est venue éclairer ses pensées : "Et si j'organisais un festival ?" Avec l'aide de ses amis, il a monté un festival de Western reprenant plusieurs activités comme des balades à dos de cheval, un rodéo de mouton sur un traîneau fabriqué à la main, de la danse et de la musique country... Bref, de quoi bien s'imprégner de son univers.

2024, année stratégique pour Esperanzah! Le festival a changé de stratégies pour pouvoir se maintenir dans un paysage fort concurrentiel. Les organisateurs ont décidé de ne plus implanter deux grandes scènes avec sur chacune d'entre elles des grands noms aux cachets élevés. Non, cette année, le festival proposait une grande scène et six petites. Alors cette formule, a-t-elle séduit le public?