Vivre avec la mucoviscidose

Face aux violences familiales, les médecins généralistes constituent une première ligne de contact primordiale. En tant que médecin, comment détecter de manière proactive ces violences ? Comment apporter un soutien médical et psychologique approprié aux patients concernés? Autant de questions abordées dans un atelier du premier congrès de médecine générale qui s'est tenu la semaine passée à Namur.

Le Relais pour la vie de Namur a eu lieu ce week-end à l'institut Sainte-Marie de Jambes. Organisé par la Fondation contre le cancer, cet évènement réunit des équipes qui se relaient durant 24 heures pour marcher, courir, et surtout soutenir des battantes et des battants, c'est-à-dire des personnes qui suivent ou ont eu un traitement contre un cancer. L'objectif est aussi de récolter des fonds. Et sur ce plan, on peut déjà dire que l'édition 2024 est un succès.

La fièvre catarrhale (la maladie de la langue bleue), continue de sévir dans les élevages. La FUGEA, le syndicat agricole, réclame une aide du gouvernement wallon. De nombreux éleveurs seraient au bord de la faillite. À Sart-Saint-Laurent, nous avons rencontré Marc Remy, éleveur d'agneaux de boucherie. Il dit avoir limité la casse pour l'instant mais il reste très inquiet.

Lors du débat électoral de la commune de Florennes, les trois listes ont échangé autour d'un sujet de santé publique. Pour rappel, en 2023, des traces de PFAS étaient repérées dans l'eau de distribution. Les normes qui seront appliquées dès 2026 fixent le seuil maximal à 100 nanogrammes/litre. On en comptait 98 au captage de Flavion et 110 au captage de Corenne. De quoi inquiéter les citoyens. Des filtres à charbon devraient être installés par la base aérienne afin d'éviter que ce phénomène ne se reproduise. Mais cela sera-t-il suffisant ? Et surtout, cela risque-t-il d'augmenter le coût de l'eau pour les Florennois ? On découvre un extrait du débat.

La maladie de Parkinson est la maladie neurodégénérative la plus répandue après la maladie d’Alzheimer. Elle touche près de 30.000 à 50.000 Belges. Pour enrayer l'avancée de cette maladie, la pratique du tennis de table s'avère être bénéfique. À Vedrin, une dizaine de personnes atteintes par la maladie se donnent rendez-vous au TT Vedrinamur chaque jeudi. Une activité qui leur fait du bien tant physiquement que psychologiquement.

Le problème n'est pas neuf, mais on peine à le résoudre. En Wallonie, on manque de places pour accueillir les personnes atteintes de déficiences mentales ou physiques. Alors, à La Plante, une société, nommée "Namur Santé" est en train de construire un centre de 80 places. La moitié des résidents vit actuellement à Saint-Gérard, mais 39 places seront ajoutées à l'offre wallonne.

Le Centre Hospitalier Régional Sambre et Meuse a décroché une distinction internationale importante. Cette distinction attribuée par l'organisme Accréditation Canada international reconnaît la qualité et la sécurité des soins d'un établissement. En Belgique, une quinzaine d'hôpitaux a réussi à obtenir ce label.

Rencontre avec Raphaëlle et Mathilde, deux jeunes entrepreneuses namuroises. Elles sont train de relever le pari four de créer une game de lingerie dédiée aux femmes qui ont subi un cancer du sein. L'enjeu est important et le projet demande beaucoup de rigueur tant les détails techniques pour répondre aux besoins sont nombreux. C'est avec leurs mannequins comme elles disent, ces femmes rencontrées à l'Espace Bien-être l'Essentiel, qu'elles parviennent à franchir les étapes les unes après les autres. Cette structure accompagne les personnes qui sont confrontées au cancer, et c'est là que nous vous emmenons, afin de mettre en lumière ce beau projet.

Des cours réguliers de fitness sur le temps de travail pour renforcer le dos et promouvoir la santé : voici ce que propose l'entreprise de soins à domicile ASD de Namur. Chaque mois, les employés bénéficient d'une séance de sport pendant leurs heures de travail afin de muscler leur dos et, de manière plus générale, favoriser leur bien-être.

Ce vendredi 15 mars, c'est la Journée internationale du sommeil. Vous souffrez peut-être régulièrement, voire chaque nuit, d'insomnies. Vous avez des difficultés à vous endormir le soir, ou vous ne savez pas vous lever le matin. Votre sommeil est donc peut-être perturbé, et cette Journée internationale du sommeil, c'est l'occasion de se pencher sur la question. Nous avons suivi un test du sommeil au Centre multidisciplinaire de somnologie à la Clinique Saint-Luc, à Bouge, avec une personne que vous voyez souvent sur Boukè média...

À l'occasion de la Journée internationale du sommeil, voici quelques trucs et à astuces pour bien dormir. Nous avons rencontré un spécialiste pour savoir ce qu'il faut faire et surtout... ne pas faire pour bien dormir.

Connaissez-vous le shiatsu équin ? Cette méthode de massage, pratiquée par Evelyne, une Assesseoise dévouée, se révèle être une véritable bouée de sauvetage pour les chevaux de toute la Wallonie, les aidant à retrouver leur forme et parfois même à revenir sur le circuit de compétition.

Il n'est pas toujours facile de faire face à... un avortement. Pour les femmes qui veulent effectuer une IVG, une interruption volontaire de grossesse, le CHRSM site Meuse propose un accompagnement global, sur le plan médical, mais aussi sur le plan psychologique. Pour en parler, nous recevons Séverine Doneux, gynécologue au CHRSM site Meuse.

Le dossier de la pollution des sites de broyage de métaux a été abordé ce mercredi au Parlement de Wallonie, à Namur. La ministre wallonne de l'environnement Céline Tellier a répondu à plusieurs questions posées par différent.e.s député.e.s. Elle a expliqué les normes imposées aux entreprises de broyage de métaux, mais aussi les contrôles effectués sur les sites et aux abords. Si la situation semble s'améliorer concernant les émissions des cheminées des sites de recyclage, elle reste inquiétante concernant l'émanation des poussières, et des retombées de ces poussières sur les sites de production et aux abords. Elle émet d'ailleurs une série de recommandations pour les riverains. Voici le résumé de son intervention.

La pénurie de personnel santé n’est pas une nouveauté. Les hôpitaux fonctionnent avec des effectifs réduits. Mais ce ne sont pas les seuls! Dans les maisons de retraite, on fonctionne aussi à flux tendu. La situation devient très compliquée et afin de garantir des soins de qualité, certains homes sont obligés de réduire le nombre de places d'accueil. C'est le cas à Philippeville. Le home Vauban a récemment dû diminuer son nombre de résidents. Passant de 80 à 75. Alors que le président et la directrice du CPAS n’ont pas souhaité répondre à nos questions. Nous sommes allés tendre le micro du côté de Viroinval, où la situation n’est pas aussi catastrophique, mais tout de même compliquée. Ils nous expliquent leur quotidien.