Philippeville - Une extension pour la crèche "Les Philous"

Trouver une place d'accueil pour son enfant est de plus en plus difficile. C'est ce qui ressort d'une étude récente réalisée par la Ligue des Familles. Un constat partagé lors d'une journée de réflexion sur le sujet organisée par le GABS, le Groupe d'Animation de la Basse-Sambre à Sambreville.

Le dossier est dans les cartons du CPAS depuis 15 ans déjà, la création d’un nouveau quartier dans le bas de la ville de Walcourt. On vous en a bien sûr déjà parlé, mais ça y est! Les travaux ont débuté. L’occasion de refaire le point sur ce projet d’ampleur qui modifiera et embellira le paysage du centre-ville.

Se familiariser à l’art dès le plus jeune âge, voilà ce que proposaient, en cette fin d'année, le CEC Incandescence et le Centre Culturel de Philippeville. Sous forme de trois ateliers, les plus petits ont été emmenés dans une aventure dédiée à la découverte des sens, de l'imaginaire et du plaisir de jouer ensemble! Intéressés? Soyez rassurés, d’autres sessions sont déjà prévues pour 2024.

Aux Habitations de l'Eau noire, société de logements sociaux dans l'arrondissement de Philippeville, on dispose de 350 logements. Pour le moment, 438 familles ont introduit une demande pour disposer d'un logement social. Or, seuls... 30 logements sont libérés chaque année. À ce rythme, il faudra donc 15 ans avant de trouver une solution pour tout le monde, sans compter les nouvelles demandes... Cette réalité, elle est vécue dans toutes les sociétés de logements sociaux ou de logements publics de notre région. Il y a beaucoup de demandes, et très peu d'offres. Pourquoi? Et surtout quelles sont les solutions? On en parle...

Le projet immobilier des Marronniers, à Thy-le-Château, est enfin terminé, un dossier très complet puisqu'il compte une crèche de 24 lits, mais également plusieurs logements sociaux pouvant accueillir des familles dans le besoin. Une bonne chose, quand on sait la crise qui touche le secteur en ce moment.

La pénurie de place en crèche, un problème bien présent. Parmi les communes les plus touchées, nous évoquions dernièrement celle de Doische, mais elle n’est pas la seule. En Entre-Sambre-et-Meuse, l’entité de Walcourt est également dans le rouge. Cela devrait, cependant, s’améliorer dans les 2 ou 3 prochaines années. Un premier dossier vient d’ailleurs de se clôturer, les travaux d’aménagement d’une nouvelle crèche à Thy-le-chateau.

De près ou de loin, on connaît tous des parents confrontés à la recherche d’une place en crèche. Leurs histoires se ressemblent : listes d’attente interminables, fermetures, obligation de reporter la reprise du travail… Il y a quelques jours, la Ligue des Familles a donc sorti une carte interactive, elle permet de connaître la situation sur le territoire. Parmi les entités pointées du doigt, celle de Doische, où aucune crèche n’est implantée. Une pénurie dont la commune est bien consciente. Elle n’a d’ailleurs pas attendu l'analyse de la Ligue des Familles pour prendre le taureau par les cornes. Un projet de crèche est déjà en cours.

A la recherche de sorties avec vos petits bouts pendant les vacances ? Depuis ce matin et jusqu’à jeudi, l'ONE fait jouer les enfants de 0 à 6 ans au centre culturel de Couvin.

La précarité est de plus en plus présente chez nous. Le constat est dressé dans de nombreuses communes de notre zone. La période Covid, notamment, a provoqué un appauvrissement de la population.

La Croix-Rouge qui ferme son centre d'accueil de jour, à Jambes, suite à des agressions, le Resto du coeur de Namur qui suspend temporairement ses petits-déjeuners pour les mêmes raisons, il y a des tensions dans le secteur de l'aide sociale à Namur. Des tensions qui sont dues notamment à une augmentation de la précarité chez nous. Une augmentation qui se ressent dans de nombreuses communes avec parfois un phénomène de déplacement des personnes ou familles précaires vers Namur. On en parle avec nos invités.

Disposer d'un toit, accéder à un travail, se nourrir, ces droits fondamentaux semblent évidents dans notre société et pourtant de plus en plus de personnes éprouvent des difficultés à accéder à ces besoins de base. Les CPAS wallons tirent à nouveau la sonnette d'alarme. La précarité explose chez nous, les Centres Publics d'Action Sociale ont vraiment besoin de moyens supplémentaires.

La pénurie de places d'accueil dans les crèches et autres structures de la petite enfance touche de nombreuses communes. A Florennes, ce sont 8 places qui viennent de fermer. L'espace de co-accueil de Flavion, nommé "Le Jardin D'enfants", vient brutalement de fermer ses portes. Une situation compliquée pour les parents qui se retrouvent dans l'impossibilité de replacer rapidement leur enfant. En effet, les structures d'accueil de la commune sont déjà pleines. Plusieurs mois d'attente sont souvent nécessaires. Le point sur la situation dans la commune avec l'échevin, Gregory Chintinne.

On l’entend régulièrement les CPAS, Centre Public d’Action Sociale, sont en difficulté. Avec les crises à répétition, le nombre de bénéficiaires augmente et les structures d’aide ne suivent plus. Une réalité de terrain que ne connaît visiblement pas la commune de Couvin. Lors du dernier conseil de l’action sociale, la présidente du CPAS a d'ailleurs annoncé des finances saines et la présence d’un fond de réserve. Comment cela se fait-il? Explications.

"Le chapitre" ouvrait ses portes vendredi dernier. Ce service d’insertion sociale florennois a pour mission principale de récréer du lien entre des personnes qui sont souvent isolées. Et vous allez le voir, entre la cuisine, la couture et le théâtre, ils n’ont pas le temps de s’ennuyer !

Le lieu d'accueil pour jeunes enfants, “La Souris Verte”, a fêté ses 20 ans d'existence. D'abord présent à Couvin, le concept s’est également implanté à Nismes et depuis peu à Doische. Le but, offrir un lieu de rencontre et de sociabilisation pour les parents et enfants n’étant pas encore en âge de rentrer à la maternelle. Pour célébrer son anniversaire, le rendez-vous était donné à la salle du centre culturel Action-Sud à Nismes.